A force de me voir tourner en rond chez lui, mon parrain m'avait proposé d'aller chercher Anna à la fin de son cours de muique au lycée. Même si je n'aimais pas retourner à ce lycée ou j'étais allée, je n'avais pas pu résister à l'envie de sortir de mon trou. J'étais partie à pied en passant par la forêt, je ne comprenais pas pourquoi les humains détruisaient la nature pour construire leurs routes, dans la forêt on peut y voir tout la magnifique végétation alors que dans une voiture, la plupart son sur leur téléphone ou trop occuper à regarder la route pour voir la diversité de la faune et la flore de cette ville. Ah si pardon, ils remarquent les animaux, après les avoir écrasés et détruit des familles. Au Mexique, il n'y avait pas autant de diversité  au niveau des plantes et les animaux sont quand même différents, c'était peut-être pour ça que je ne comprenais pas ceux d'ici.
J'arrivais au lycée par le terrain, enfin le stade puisque je voyais des gradins. La nuit était presque tombée  alors qu'il ne devait être que 18h.  J'avançais en regardant le sol lorsque j'entendis un bruit, comme un grognement. Je fis volte face et vit une ombre, elle s'agita et me dit Un métamorphe ou une bête ? Après tout c'est la pleine lune, allons lui faire la peau… je soupirais bon d'accord juste le frapper alors, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas amusées et tu en as envie, tu veux tuer, tu veux refouler ta rage et ta colère sur quelqu'un, ne le nie pas. Mes pupilles devinrent plus grandes et brillèrent de leur lueure bleue, j'attrapais la dague que j'avais dans ma poche et dit doucement

Depuis ma morsure, je me sentais différend. Comme quelqu'un d'autre. Plus fort, plus rapide une autre version de moi, mais en meilleur. J'avais eu dû mal à me faire à cela, à vrai dire, je ne m'y suis pas encore fait et j'avais dû mal à contrôler ses nouvelles aptitudes que je découvrais. Mes cinq sens se sont décuplaient.
J'étais capable de voir un infini détail d'un truc de super loin, je sentais les irrégularités d'une feuille glacée rien quand y passant les doigts, je sentais les odeurs du réfectoire alors que je n'étais pas dans le même bâtiment, capable de sentir le goût d'un aliment noyé dans d'autre condiment, je pouvais suivre une conversation qui se tenait à l'autre bout du couloir. En somme tout mes sens étaient comme en éveil. Mais pour cela, il y avait un prix à payer. Le prix me faisait sentir mal, comme malade, je transpirais comme pas possible, je sentais de l'agressivité en moi, et un énervement pas commun.

Je cherchais désespérément la sortis, ça n’allait pas bien du tout. ET enfin la voie de la délivrance pile droit devant. Je laissais tomber mes affaire au sol. Je poussais la porte et me retrouver hors des lieux. Je courut droit devant moi un bon moment essayant de reprendre le dessus en vain. J’arrivais au stade. Et là une forte odeur me vint aux narines une bête était là.

Guidais par cette odeur, j'avançais, je sentis mes muscles épaissir sous ma chemise, des poils pousser sur mon visage, des crocs et des griffes apparurent, mes yeux devinrent jaunes et ma pupille rétrécis comme celle d'un félin. Je les voyaient une femme me tourner le dos et une bête face à elle. Je courus et bondis pas dessus sa tête à elle et me retrouver face à la bête.

Je venais sans raison de m'interposer, je montrais les crocs et grogné. Je ne ressentais ni crainte ni peur. La bête partie sans rien demander, je fis volte face et vis la femme :

« Je ne vous veux aucun mal »


Je baisser la tête afin qu'elle ne voie pas mon visage. Qui ne dissimuler rien.

Une ombre était en face de moi, ses yeux jaunes luisait dans l'obscurité. J'étais donc tombée sur un Oméga ou un Béta. Je le fixais en souriant et regardais derrière son épaule. Je poussai un grognement de frustration lorsque je vis une bête s'enfuir dans la forêt. J'aurais pu lui filer une bonne correction, mais bon tant pis ce petit m'a l'air beaucoup plus intéressant. Je m'approchai fixant son visage, ma dague toujours dans la main. À la forme de ses iris, je devinai qu'il était un félin. C'était assez rare, enfin je n'en avais pas croisés beaucoup. Je le regardais de haut en évaluant sa situation. Un alpha laisse rarement ses Bétas seuls un soir de pleine lune, c'est donc un Oméga lui aussi. Je lui souris tout en gardant mon attitude froide et distance et je lui lance.
Je me baisse de sorte à capter son regard et ajoute.
Je me mis à marcher autour de lui en jouant avec ma lame et en affichant un beau sourire sadique. La pleine lune l'agitais et bientôt je n'aurais plus de contrôle sur aucun de mes mouvements... Ça me faisait un peu peur mais j'étais habituée. Tu veux le tuer, tu en meurs d'envie alors vas-y! Tu peux n'en feras qu'une bouchée vas-y!

Je venais de faire fuir une créature de la nuit. Elle avait vite déguerpie sans demandait son reste. A présent je regardais la fille qui avait faillit devenir son repas, je n’avais repris ma forme humaine, pourtant elle ne semblait pas effrayait par mon apparence. Même pas intriguée. Elle me fit un sourire, mais je restais sur mes gardes tout de même.

Elle se mit à me parler, mais je ne comprenais pas ce qu’elle me disait, elle parlait de pleine lune, d’Alpha, on dirait du grec… d’après elle je risquais ma peau et fallait que je e ressaisisse. Puis elle ajouta qu’elle-même pourrait me tuer, me dit elle en me regardant dans les yeux. Je pris une position défensive, prêt à la riposte. Elle ne ferait long feu sous les coups de mes griffes :

« Grroaaaa !!!! »

Comme un avertissement, digne des plus grands guépards du monde animal. Je ne savais pas capable de ça, j’en suis plutôt fière de moi pour le coup. Mais avant de combattre et que la réduise en miette, je voulais savoir des choses :

« Qui est tu ? C’est quoi c’est histoire de pleine lune est d’alpha ? »

Je ne combattrais pas cette fille tant que je n’aurais pas des réponses, je ne veux pas me battre, je veux juste comprendre ce qui m’arrive.

Lorsque j'entends son cris, je me mis à rire aux éclats. C'était tellement mignon de le voir essayer de m'impressionner. Mon habituel sourire narquois décora mes lèvres et je lui répondis après m'être calmée.


J'attendais un peu afin de voir s'il allait répondre quelque chose. Aucun mot ne sortient de sa bouche, tant mieux. Je me mis à marcher autour de lui tout en parlant.


Je m'arretais de tourner et me plaçais devant lui


Si ça n'avait tenu qu'a elle il serait déjà morte, je sentais les effets de la pleine lune et mon sang qui bouillait. Je me laissais légèrement emporter car après tout, cette discution était pour le moment très ennuyante.

Elle savait tellement de choses. Elle pouvait m’aider, bien que froide et distante. Elle savait comment j’étais devenu ce que j’étais. Elle connaissait mes capacité décupler, tant de choses sur moi elle en avait des réponses, j’essaye de me calmer. Elle pouvait m’aider, mais il y avait un prix, comme toute chose, elle retint mon intérêt en parlant que je pouvais faire énormément de mal à ceux que j’aimais, ma mère.

C’était la pleine lune, je sentais en moi, une envie irrésistible, de tout casser, d e montrer une force en moi sauvage. Je me sentais comme invincible, deux forces luttaient en moi, celle de me calmer et de reprendre mon aspect naturelle et celle du félin voulant écumer la ville. Je regarder à peine la fille, mon désir de la mordre de la griffait était fort, mais je ne voulais spas, ce n’étais pas moi :
 
« Aide moi, je t’en pris »

Un nuage se mit à cacher la lune, je ne sais pas si cela influer sur moi ou pas, mais ma respiration ralentis, je me calmer, me concentrant sur ma respiration. Lentement je sentis mon aspect reprendre celui d’un ados normale, me griffe avaient disparut et toutes trace du félin aussi. Je tombais à genou. Mais je savais que cela ne serais que momentanée :

« Je t’en supplie empêche que cela me reprenne, je ne veux pas faire de mal, a personne »

Elle me faisait peur, elle me terrorisait. Avec son regard qui semble te passais au travers, avec cette couleur bleu anormale, je suis sur qu’elle pouvait me tuer en un coup si elle le voulait. Je demandais juste son aide, à comprendre, mais une question se poser à moi, que voulait-elle en retour ? Quelle en serait le prix de son aide ?

Il s'agitait, et je sentais son envie de tuer, l'animal qui était en lui avait envie de détruire quelque chose peut-être moi... Cette pensée me fit sourire, il pouvait essayer de m'attaquer ce serait amusant. Mais au lieu de bondir sur moi, il me demander de l'aide. J'allais lui répondre lorsqu'il repris son aspect humain. Je sursautais lorsqu'il atterrie sur ses genoux et me supplia en tremblant. Je continuai à le regardais de haut. Je m'accroupissais et lui relevais la tête avec ma main droite. Mes doigts était gelé et j'espérais que ça le calme. Je le fixais dans les yeux et lui dit un peu plus chaleureusement que précédemment.


Je m'arrêtais, le nuage qui cachait la lune était en train de partir. Il fallait faire vite. Je continuais même si elle n'avait pas vraiment envie de l'aider, j'avais étais dans sa situation et j'avais apprécié qu'on m'aide.


Je sentais mes crocs s'allonger j'avais envie de tuer, il fallait que moi aussi je parvienne à me contrôler sinon j'allais encore faire un carnage.

Et je fis comme elle dit, je commençais par calmer ma respiration. Et toutes en l’observant, surgit du fond de ma mémoire un visage apparut, aussitôt un sentiment de bien être envahit tout m’on être, je me sentais apaisé et calme. J’arrivais enfin à me contrôlait au du moins je le croyais.
Tout commençait à rentrer dans l’ordre, sa main gelée sous mon menton devait y être pour quelques choses. C’est alors que je sentis revenir en moi cette sensation de l’animal, je levais les yeux au ciel. Le voile nuage qui masquait la pleine lune, se dissipait peu à peu, agissant sur nous. Je vis alors son regard changeait et ses crocs s’allongeaient. Je me sentis repartir pour e transformait, ma vu commençait déjà à s’améliorer.
Je me reculais, me plaquant comme un arbre, à la fois paniquait de voir celle qui pouvait m’aider se transformer et luttant de toute mes force pour ne pas céder à ma part animal. Il semblait plus fort que moi, je me mt à crier alors :
« Non, tu ne gagnera pas, pas cette fois »
Je détachais mon, regard de Caliska, et concentra mon esprit sur pas la, mais les personne les plus importante de a vie, un homme et deux femmes. Puis j’en appelais à l’aide :
« Papa je t’en pris aide moi »
Je n’avais plus la force de combattre et je m’abandonnais tout entier à la transformation, mais aussi impossible que cela puisse être, je gardais mon apparence humain, même mes yeux reprirent une vision normal. Je venais de réussir à me contrôler, je regardais le ciel, la lune était là bien visible. Je me tournais vers la fille. Elle était dans la pénombre, mes je voyais ses yeux :

« Calme toi, je ne veux pas mourir ni te faire du mal, contrôle toi, respire calmement »